Selon les textes attribués à Marie-Madeleine à coté de sa momie supposée
 (en cours d'expertise),textes qui ne sont que des copies parfois des résumés
 d'un éventuel "évangile" de Madeleine, Jésus n'a pas été retrouvé ni vivant
 ni ressuscité mais en train de mourir.

 Les gisants des premiers temps chrétiens représentent d'ailleurs tous Marie
 (celle qu'on appelle Madeleine) prenant le pouls de Jésus à la descente de
 la croix.

 Les condamnés n'étaient pas crucifiés sur une croix en thé mais suspendus
 sur une croix en X,  pieds posés sur une encoche. Le supplice était terrible
 car le condamné frappé d'une fatigue incontrôlable et se laissant pendre il
 organisait sa propre asphyxie,le liquide de la plève envahissant progressi-
 -vement les poumons.

  D'après ce texte, daté scientifiquement du temps où le corps du Christ
  aurait  été retiré de cette anfractuosité pour être rapatrié à Jérusalem
  par les Templiers  (voir le Tombeau du Christ de Talpiot), Madeleine
  aurait organisé le départ de tous les apôtres (et non la fuite comme
  disent certains écrits) auquel elle leur  présenta le corps du Christ
  encore vivant.

Lien sur le tombeau de Talpiot ICI:

  Il était tellement méconnaissable de souffrance et de blessures qu'aucun
  ne voulut le reconnaître au départ. Quand ils l'eurent reconnu, ils
  acceptèrent de quitter  Jérusalem  et de faire route vers Marseille, à la
  Sainte Beaume, auprès de la  famille de Marie ou de Madeleine ..
  (sont-elles vraiment deux personnages distincts?)

  Jésus a été sauvé par la lance romaine qui vida l'un de ses poumons de
  l 'eau qui  l'empêchait de respirer.

  La traversée à travers la Méditerranée dura 29 jours. Elle fut épouvantable
  et elle est décrite en détail dans ce texte.

  Jésus ne vécut que 7 jours à la Sainte Beaume. Il est mort au 40ème jour
  avant que tous les  apôtres ne fussent réunis comme ils le furent ensuite au
  49ème jour,  compté 50. Madeleine fit descendre l'esprit saint pour qu'ils
  évangélisent les nations. Dans ce texte, elle parle de  cette réunion, mais
  autrement.


  Elle en parle comme si elle et lui n'étaient ensemble qu'une seule et même
  personne  en esprit.

  Madeleine est le Verbe et le Logos qui précèdent la division, comme dans le
  prélude.  Elle est dans le manteau du Christ comme consubstantielle de la
  trinité. Voilà le seul vrai mystère de Rennes le Château où leurs corps furent
  cachés après l'institution de  l'Eglise Romaine (Constantin) avec l'aide de la
  diaspora juive mais goth (non sémite) des futurs seigneurs de Baux (dont une
  branche se fit appeler de La sainte Lumière, puis Saint Clair, puis enfin
  Sainclair). Les Templiers cachèrent ensuite la momie de Madeleine sous le
  Mont dit Cardou et rapatrièrent le corps de Jésus pour le déposer dans
  l'ossuaire de Talpiot où se trouvait déjà celui de son fils, Judas, dont le
  parrain n'était autre que Judas.

  Celui qui put s'échapper une première fois des soldats romains qui ne ne
  retrouvèrent qu'avec sa toge. Les Évangiles passent sous silence qu'il a
  ensuite été assassiné,  preuve de la véritable crainte que Jésus inspirait
  au Sanhédrin?

  Quand Marie prend la mer, est-elle enceinte ? Dans le texte, ce n'est pas
  clair. Elle  prendra plus tard la route de la Macédoine et de la Grèce avec
  Philippe, l'un des frères  (ou demi-frère ?) de Jésus.

  Personne ne sait si ces textes ou ces récits sont authentiques. Disons qu'ils
  sont TRÈS  vraisemblables mais s'ils sont peut-être eux-mêmes un arrangés.

Lien sur le site de Ste Baume ICI:

  Tout colle parfaitement avec l’Évangile de Philippe découvert récemment
  et qu'on ne connaissait pas à l'époque où ils sont censés avoir été recopiés
  des originaux.

  Ces textes étaient jusqu'alors très gênants. Pour l'Eglise catholique, ils sont les
  fondements possibles d'une évolution radicale vers  une religion  laïque et
  spirituelle.  Pour les autres, qui rêvent d'un Empire dont la capitale spirituelle
  serait Jérusalem, ......


  Ces originaux existent-ils encore , je  pense que oui mais le problème est
  de les trouver . . .